(toute ressemblance avec une œuvre de fiction existante ne serait que purement fortuite )

Oyez oyez amis clubbers et autre #mecDeLaNight

À toi qui croule sous le nombre des soirées et surtout celles qui « Hein ? Quoi ? Ce soir ?!!! Mais pourquoi t’as pas fait tourner le plan avaaaant !! », ou encore à toi qui n’en peux plus de passer 15 ans agglutiné au bar pour enfin commander « UNE CAÏPI S’TEU PLAÎT ». Ah dommage, un Daïquiri. Presque.

Toutes nos excuses pour ces mauvais souvenirs, mais nous avions besoin d’exemples concrets pour introduire Shotgun, la nouvelle app pour mieux gérer tes sorties branchées.

« Shotgun », pourquoi ?

Pour les novices, « Shotgun! » c’est tout simplement l’équivalent Québécois de notre célèbre « Prems ! » et pour cause, puisque cette app – bien frenchy – a pour but de nous faire gagner pas mal de temps, sur la sélection des soirées, l’entrée à ces soirées ou encore la commande des boissons.
Et comme tout se passe sur votre smartphone, vous pourriez limite parodier un geste de braquage en le tirant de votre poche et en criant « Shotgun ! ». M’enfin, tout ceci n’engage que vous… et probablement les quelques verres précédents… ou encore votre pote Parcimonie qui aura sûrement déjà déserté la soirée. Bref, soyez tout de même prudents… #etatdUrgence

« Shotgun », pour quoi ?

Cette app étant encore toute jeune, vous y trouverez actuellement 3 actions principales :
– parcourir et sélectionner vos soirées. À la manière de Tinder, vous pourrez swiper les soirées proposées à droite ou à gauche suivant que vous souhaitez y aller ou non. (c’est quand même plus classe que de swiper des humains, entre nous soit dit)
– éviter le bounce. Eh ouais les mecs, vos préventes ont été gérées via l’app, elles apparaissent donc sur votre smartphone avec la preuve d’achat and all. #noStress
– gérer le barman. Plus la peine d’avoir un décolleté plongeant pour qu’il daigne écouter votre commande. Vous aurez sélectionné et payé vos boissons sur l’app, et comme pour entrer, vous n’aurez qu’à lui présenter

Sur ce dernier point d’ailleurs, finit les poches pleines de biftons pour payer des coups, vu que tout se passe directement sur votre téléphone.
Dernier point positif ? Vous n’êtes débités qu’une fois les actions (achats de place, boisson) validées, donc plutôt nice.

Ne vous reste plus qu’à aller acheter une bonne grosse chaîne pour ne plus perdre votre téléphone en soirée !

Vous n’êtes pas clubber ? Qu’à cela ne tienne, Shotgun pense aussi à celles et ceux qui kiffent une petite planche, un bon burger voire même une petite pause végétarienne posés entre potes avec des offres un peu partout ; vous pourrez d’ailleurs suivre leur compte Instagram pour chopper ces bons plans.

Vous voulez l’app ? Ok ok, elle est gratuite – forcément – et est dispo ici pour Android ou là pour iOS.

Allez dites-nous tout, vous en pensez quoi de tout ça ?

Cet article Shotgun : tu braques et tu raques a été publié en premier sur The Earlinguists.

Eh bien très chers amis, comme bien souvent, VOUS N’ÊTES PAS SEULS. D’autres ont déjà été confrontés à cette terrifiante expérience et certains ont décidé d’en sortir quelque chose  de positif, à l’image de Stéréokids, un projet dont le but est d’initier les plus petits à la musique des grands.

Stéréokids, d’où ça vient ?

Stéréokids, c’est le bébé de deux « couples de parents copains » voulant partager leur amour de la musique de « grands » comme Bowie, Blondie, Dutronc, mais aussi Breakbot, Metronomy ou Moodoid avec leurs jeunes enfants.
Et nous ne parlons pas ici de n’importe qui puisque parmi ces 4 compères nous retrouvons Pedro Winter (rien à voir avec Ophélie), aka Busy P, aka le boss du label Ed Banger. Oui monsieur.

Stéréokids, kézako ?

Comme ils le disent eux-mêmes si bien, « Stéréokids c’est un après-midi de vrais concerts et d’animations pour faire découvrir aux enfants les artistes d’aujourd’hui que leurs parents écoutent. »
Donc non, pas de décibels à outrance. Et vous ne serez pas non plus 15 au m², ces joies-là vos enfants auront tout le loisir de les apprécier plus tard.
Non, ici ce sera plutôt barbe à baba, coloriage, tatouages (aka décalcomanies, on a dit pour les enfants !!), maquillage et bien entendu concerts avec des artistes qui jouent vraiment le jeu et font participer vos marmots.

Stéréokids, concrètement ?

Eh bien pour faire court, Stéréokids est né le 18 mars 2013 ; le 7 juin 2015, une première édition voyait le jour à la Cigale avec en tête d’affiche Oxmo Puccino, Moodoïd, Breakbot et DJ Pone. Oui oui, ça défonce. Pour vous faire une petite idée, ça résonnait comme ça :

Et une deuxième édition est prévu pour le 10 avril 2016 avec un line-up encore plus fort, vous y retrouverez notamment Philippe Katerine, Cassius, Metronomy, Housse de Racket, Kumisho et DJ James. Vous êtes jaloux hein ?
Pour ce second après-midi Stéréokids est malheureusement complet, mais vu le succès, n’hésitez pas à suivre l’affaire de près pour ne pas louper les prochaines dates ! (c’est par-là…)

Mais d’ailleurs et vous, quels artistes aimeriez-vous faire découvrir à vos loulous ? À quel concert les emmèneriez-vous ?

Cet article La musique des grands pour les petits a été publié en premier sur The Earlinguists.

Eh oui, la journée de la femme, le 8 Mars, impossible de se tromper, chaque année c’est le rendez-vous incontournable du match féministes versus… euh… le reste du monde on dirait.

C’est quand même bizarre non ? Y’a deux jours on fêtait les grands-mères tout le monde était OK et là rien ne va plus… Bon bref, rangeons-nous 2 minutes du côté des féministes. Du coup voilà, on va forcément vous parler de parité, d’égalité des salaires (ouais, c’est pas encore tout à fait gagné) et on va commencer à cracher sur les marques et leurs publicités, genre les PDGs sont directement responsables des spots pubs et de ce qu’il s’y passe :

Alors que « Allo les gars », depuis quand les PDGs ou les hauts dirigeants décident des spots, des scénarios and Co. ? Les panels consommateurs, les pôles marketing, les agences créa, les concepteurs-rédacteurs ? Ça vous parle ? Vous ne pensez pas que c’est plutôt tout ça qui dirige les choix créa ?

Si on part par-là, tout de suite on va se dire que c’est le cercle vicieux, les marques et leurs agences font ce que les consommateurs attendent et les consommateurs en se reconnaissant dans les marques copient leurs contenus / comportements etc etc. #infiniteLoop

Alors comment on se sort de ça ? Peut-être via des leaders d’opinion, ou des personnalités, des musiciens, des artistes ? Parce que c’est peut-être là que le bas blesse, chez ces figures qui potentiellement influencent le plus les jeunes générations, car elles semblent bien plus proches des gens, de vous, de nous, que les marques auxquelles on ne prête pas forcément un visage en particulier, vous voyez ?

Surtout que de nos jours, avec les réseaux sociaux, suivre le compte Twitter ou Instagram de Dan Bilzerian  (16,2 millions d’abonnés) ou Travers Beynon (518 000 abonnés) sont des choses à la portée de tous. Et quand on voit le rôle des filles dans leurs univers, c’est à se demander quelle nana irait de son plein gré se faire balancer nue du haut d’un toit, direction la piscine, ou presque. #ramasseTonPied

Rassurez-vous, pour porter l’étendard du girl-pow@ vous pouvez compter sur Kim Kardashian et ses 62,7 millions d’abonnés, auxquels elle… ha non, on nous souffle dans l’oreillette que non, mauvais exemple. On aura essayé.

Voilà… On ne reviendra pas non plus sur des mouvements émergents comme le twerk, cette « danse » (si si, il paraît !) où – soyons honnêtes – le but est de remuer son boul dans un futal « seconde-peau-mais-quand-même ». Ha elle est bien loin l’époque des t-shirts « Mes yeux sont plus haut ! », remplacée par ces vidéos « Salut ça c’est mon cul. » #payeTonCombatDeFeministe

Bref, on voit bien que le combat n’est pas gagné, mais que des efforts sont là et qu’ils méritent d’être soulignés, encouragés et surtout salués.

À l’image de Always, qui nous a sorti une publicité bien éloignée des tampons et autres serviettes hygiéniques, tout simplement autour de l’expression « comme une fille ». Tout bêtement, cette expression que l’on a déjà toutes et tous utilisée, même rien qu’entre mecs.

Ici, on voit tout simplement l’interprétation « de base » tel qu’on utiliserait l’expression dans la vie de tous les jours, sur le ton de la rigolade, puis soumis à un petit « réfléchis 2 secondes à ce que ça veut dire ».

Franchement, chez The Earlinguists, nous avons trouvé cette pub vraiment très pertinente, avec un vrai message, une réelle prise de position, un enseignement, complètement dans le mille quoi.

C’est donc sur ce spot que nous terminerons cet article, et en souhaitant à toutes les femmes, une très bonne journée de la nana… et surtout, kiffez cette journée #likeAGirl 

Cet article La journée de la meuf a été publié en premier sur The Earlinguists.

De nos jours, après des succès interplanétaires comme Loft Story où 15 clampins passent plusieurs semaines enfermés et filmés H24 à faire… euh… enfin… si ils euh… ou alors… ouais bon non on ne voit pas. Bref, entre ça et la radicalisation du streaming vidéo dont la première petite opération d’envergure portait un nom d’adorateurs de lolcat – le bien nommé chatroulette – les apps se sont multipliées, chacune créant bon an mal an sa communauté, et in-fine son usage propre (ou vice-versa, c’est selon t’as vu).

Petite rétrospective de la montée en puissance…

Tout le monde connait forcément YouTube fondé en 2005, avec son lot de YouTubeurs créant pour la grande majorité des séries, des tutos. Bref, des séries de tut… ah non tiens, pas que.

Instagram où, depuis sa création en 2010 semblent pulluler les aficionados de fitness et autres work-out exercises à la Jen Selter ou encore la française Sonia Tlev et son Top Body Challenge.

SnapChat arrivé en 2011 (qui s’impose aux US à 45% chez les 18-24 ans, source Business Insider) où des vidéos de 10s maximum et prises uniquement via l’app servaient au début surtout à faire du sexting… (nous on a rien dit, ok ?)

2013 aura été l’année de Vine, créé par Twitter, qui se rapproche de SnapChat à ceci près que les vidéos de 6s peuvent être prises soit via l’app soit uploadées, ce qui permet de les éditer, et donc à certains talents comme Zach King de faire des choses juste terribles ! Tiens et juste parce qu’on vous aime bien, on vous met une petite compil des meilleurs Vines glanés de-ci de-là…

Sans compter que les Vines peuvent être visionnés aussi bien sur smartphone que sur ordinateur, contrairement à SnapChat qui reste exclusivement sur support mobile.

Tout ça c’était en quelque sorte le streaming vidéo 1.0. Et puis les mecs ont augmenté les débits, ils ont adapté les forfaits, ils ont revu les algorythmes d’encodage vidéo, ouvrant ainsi encore plus le champ des possibles (merci Lu) avec une version 2.0, le streaming vidéo en live and direct, aka le livestreaming. #ouiMonsieur

Alors bon, pour être tout à fait honnêtes, tout ceci n’en est qu’aux débuts, et comme bien souvent les usages tiennent surtout selon le pitch « Je sais pas ce qu’on y fera, mais on y va ! », du coup…

Deux ans après Vine, en 2015, revoilà nos amis de chez Twitter avec Periscope, qui vous permet de livestreamer (ce qu’on ne nous fait pas écrire franchement…) ce que vous souhaitez, et à vos followers de suivre le tout comme s’ils y étaient, tout en commentant à loisir. Pour celles et ceux qui n’auraient pas eu la chance de vivre en même temps que tout le monde ce fabuleux moment où tu cours après le bus que tu viens de rater, la vidéo réalisée est gardée sur les serveurs Periscope jusqu’à 24 heures. #onAEuChaud

Meerkat débarque la même année mais… à part le fait que ce service porte le nom du gentil petit animal Africain, il dispose des mêmes services que son pote Periscope, à ceci près que Meerkat ne sauvegarde pas les lives, du coup une fois finit c’est finit. #cestBallot

Source Variety

You Now lui est créé dès 2011 (la même année que SnapChat) mais ce n’est qu’à l’hiver 2014 qu’il prend sa vraie place – surtout chez les ados – alors que Periscope peine à se maintenir et que Meerkat sombrait. Vous trouverez un peu plus bas un screenshot et pour les plus avertis, vous remarquerez que l’interface est allègrement inspirée des chats les plus sexy des Internets où vous devez payer offrir des émoticônes et autres cadeaux virtuels à votre interlocuteur pour en (a)voir un peu plus.

Donc là, même concept. Vous arrivez sur le site You Now, vous accédez à vos favoris (bande de perv’) ou bien vous choisissez une des catégories puis vous accédez à un espace où avec tous vos potes voyeurs spectateurs vous pouvez liker, partager et surtout offrir des cadeaux et chatter pendant que vous écoutez et matez en live quelqu’un (qui ne vous voit ni ne vous entend mais peut seulement lire vos messages) qui se filme dans sa petite vie tranquille… Martine se brosse les dents, Martine pousse la chansonnette, Martine va se faire cuire un œuf, Martine a un morceau de salade coincé entre les dents ou encore et surtout Martine dort : les #sleepingsquad

Preuve à l’appui, plus d’une heure de livestream de sommeil, plus de 400 personnes connectées à regarder et commenter ce qu’il ne se passe pas. What the fuck ?
Ce qui nous a rassuré, c’est de voir qu’à priori nous n’étions pas les seuls à nous demander ce que c’était que ce fuck :

Ce qui ne nous a pas rassuré par contre, c’est de voir que cette catégorie provoque un réel engouement. Ni de voir que certains ont tellement de « succès » qu’ils ont passé un deal avec You Now pour qu’une partie du prix des cadeaux virtuels qui leur sont offerts leur soit reversé sous forme de royalties.

Vous y êtes, on ne vous avait donc pas menti : You Now ou comment devenir glandeur d’envergure.

Le truc, c’est qu’on ne rentre même pas dans des considérations éthiques vu que tout le monde fait ce qu’il veut de sa vie, après tout. Non, la réflexion se trouve plutôt du côté de l’amour propre, de ce « besoin » de plus en plus moins en moins pudique d’exposer sa vie au plus grand nombre, sans les connaître, voire sans même être en mesure de vraiment savoir qui regarde, en fin de compte.

Flippant, non ?

Cet article You Now ou comment devenir glandeur d’envergure a été publié en premier sur The Earlinguists.

Ok, on a fait le tour du topic : les pop-ups c’est à gerber.

Et les pop-up stores ? Ça vous parle ça ? Peut-être un peu moins, même si votre parfait anglais vous permet de comprendre qu’il s’agit de pop-up (woohoo !) et de magasins. We-wel-wel-well done.

Et pourtant vous y êtes, un pop-up store ce n’est ni plus ni moins qu’un magasin ouvrant de manière inopinée et temporaire. #tuMeVoisTuMeVoisPlus

Alors par contre non, rien à voir avec les petits bureaux où vous êtes allés déposer vos petits bulletins dimanche… Mieux vaut préciser pour les deux du fond. #regionales2015

Un pop-up store permet à la fois aux marques de s’exprimer à l’aide de promotions décalées, conceptuelles, à mi-chemin entre de pures opérations marketing et des points de vente ordinaires, et aux consommateurs de profiter d’animations plus ou moins exclusives, et surtout d’une offre se renouvelant à chaque édition.

« Plus ou moins exclusives », la notion est importante et est bien souvent liée à la réussite ou non de l’opération.

Eh oui, ouvrir un pop-up store est – moyennant finances – à la portée de n’importe quelle marque, alors autant en faire un événement marquant, unique et qui restera gravé dans la mémoire des consommateurs ; ah oui désolé hein, vous êtes bien mignons mais le but ultime c’est et ce sera toujours que vous consommiez, des fois que vous en doutiez. #truthHurts #addictive #featRakim

Bon allez, séchez-nous ces grosses larmes que nous ne saurions voir, dites-vous que maintenant vous savez, et que vous pourrez librement profiter de ces pop-up stores en toute connaissance de cause
Merci qui hein ?

Et vous avez déjà un programme chargé !

Galanterie oblige, les nanas ont rendez-vous au pop-up store Balsamik à Bercy-Village, tous les jours de 11h à 21h et ce jusqu’au 31 Janvier 2016. #PopupBalsamik
La célèbre marque experte en morphologie de la femme saisit ici l’occasion de présenter IRL (« dans le monde réel », bande de noobs !) ses pièces que vous ne pouvez habituellement choisir qu’en ligne, le tout dans un espace de 100 m². S’il vous plaît.

Pour ces messieurs à présent… même si de récentes études ont montré l’intérêt grandissant de la gente féminine pour ce sujet… Pfff, bientôt elles porteront la moustache ! Quoi ?! Certaines s’y sont déjà mise ?!! Noooooon… Siiiii ?!! Rooooooh… Aïe, voilà que ça dérape…
Bon bref, nous parlons ici du Sub®Store, le pop-up store de Heineken qui avait (en Octobre 2013, il y a 2 ans maintenant) décidé de fêter la sortie de sa tireuse à bière pour particuliers, The Sub, en déguisant une péniche Parisienne en sous-marin. Genre les mecs n’ont peur de rien quoi.

Là, nous les retrouverons du 20 Novembre au 20 Décembre dans ce pop-up store du Marais (19 rue de la Verrerie, Paris 4), dans un univers toujours dédié au Sub, cette fois-ci dans une ambiance plus décalée, limite rétro, où vous pourrez non seulement faire vos emplettes pour Noël, découvrir des éditions limitées du Sub ou encore tester l’une des 11 références de bière entre 2 parties de flipper ou de console, tranquillement installés dans le salon de dégustation… (mais chut, on ne vous a rien dit ! )

Il y en a donc pour tous les goûts…

• le pop-up store BlooLands au 42 rue Jacob (Paris 6) du 25 novembre au 24 décembre, 75 m² dédiés à la bougie LED et autres cadeaux lumineux
• le pop-up store FeelUnique au 121 rue Vieille du Temple (Paris 3) du 27 Novembre au 13 Décembre, avec les meilleures marques de beauté Anglaise
• le pop-up store Berlin (oui oui, la ville !) au 35 rue Quincampoix (Paris 4) du 7 au 12 Décembre, pour vous faire découvrir… la ville #noKidding

Et enfin pour tous, la SNCF a décidé de s’emparer de ce que nous appellerons ici « la folie des pop-up stores » en installant Cour de Rome (sur le parvis de la gare St Lazare) un pop-up mall (ça va le TOEIC ?) dédié aux jeunes créateurs Français sous la forme d’un ensemble de 21 pop-up stores dans lesquels différentes marques se relaieront tous les jours de 8h à 20h et ce durant 7 semaines, du 7 Novembre au 27 Décembre.

Nous ne pourrons que saluer l’initiative de la SNCF (oui quand c’est bien faut le dire, même si on aurait préféré que ça concerne leur cœur de métier…) qui permettra à ces jeunes créateurs d’obtenir une exposition accrue, surtout à un endroit comme St Lazare.

Allez, pour finir, nous regretterons peut-être que cet « esprit » pop-up store qui – dans l’idée – résonne plutôt comme quelque chose d’unique, soit détourné sur un modèle de masse, à mi-chemin entre le marché d’art contemporain et le marché de Noël. Voilà c’est dit.

Alors espérons juste que ce genre de manifestation ne tourne pas à l’adaptation FR du Black Friday qui, pour d’évidentes raisons économiques *sic*, se traduit désormais par « 4 jours magiques » ou autres « weekend de folie ». #tropDeLaBalle #ouPas

Et vous qu’en pensez-vous ? Pour ou contre les pop-up stores ? Voire, au-delà de ça, pour ou contre l’adaptation d’événements commerciaux étrangers en France ?

Cet article La folie des pop-up stores a été publié en premier sur The Earlinguists.

Nous nous sommes même retrouvés hagards samedi dernier à déambuler dans un centre commercial en quête de cohue, soudain submergés, agressés par toute cette vie. C’est con, non ? Alors nous avons pris un peu de recul… puis encore un peu (trop). Malgré nous. Heureusement, y’en a qui veillent au grain. Merci @popo_line :

Aussi dur soit il, la vie doit reprendre ses droits. On ne vit pas comme eux. N’oublions pas notre culture.
Une pause, ok. Parfois il faut du temps pour digérer.
Mais n’abandonne pas, sinon ils gagnent.

Et comme toutes choses évidentes, nous avons de temps en temps besoin de les entendre de la bouche de quelqu’un d’autre, sûrement pour nous confirmer que nous ne sommes pas en train de nous persuader nous-mêmes. Alors nous avons rouvert les yeux et nous avons constaté avec satisfaction que nous n’étions pas les seuls à ressentir ces choses. Merci @SophiaAram :

Alors tout compte fait, il est temps de repartir ; nous ne nous replierons pas derrière les 15k polémiques que l’on nous ressort à chaque fois, parce que, merci @terminalose :

Le retour des polémiques à la con c’est le début de l’oubli.

Et nous on ne veut pas et on ne va pas oublier. Nous continuerons d’avancer et ferons fi des abrutis qui par appât du gain ou par simple bêtise ne peuvent s’empêcher de démontrer leur manque d’humanité, merci @fierpanda :

L’assurance qui appelle pour savoir si en raison des derniers événements je ne voulais pas rehausser les seuils de garanties #autop

Tout comme nous n’oublierons pas non plus tous les bons moments que nous avons pu passer au Bataclan, entre potes, devant des artistes de ouf, comme Billy Talent, Lacuna Coil ou encore Fauve… #niqueSaMereLeBlizzard

D’ailleurs là non plus nous ne sommes pas seuls, puisqu’un mouvement a fait son apparition sur Twitter via le hashtag #MonPlusBeauSouvenirDuBataclan, accompagnant les meilleurs souvenirs de chacun, malgré tout le reste.

Et alors que tout ça nous redonnait du baume au cœur, les médias bouillonnaient à nouveau ce matin avec l’assaut à St-Denis. Heureusement, Shy’m était là pour « rattraper » le coup. #ouPas
(au moins on est sûr qu’elle ne faisait pas de playback)

Tiens, ça aussi ça aura lancé un mouvement sur Twitter, le #jeSuisShym. Allez, sans rancune !

Cet article La vie doit reprendre ses droits a été publié en premier sur The Earlinguists.

Peut-être ne connaissiez-vous pas ce groupe avant hier soir. Peut-être même qu’en l’entendant sur BFM TV ou en le lisant sur les réseaux sociaux vous vous êtes dit qu’il s’agissait sûrement d’un groupe de gothiques fanatiques adorateurs de chatons écoutants de la musique « rock » métallique avec un mec qui braille à -15cm de son micro sans qu’on ne pige rien à ses textes on ne peut plus recherchés.

Mais il n’en est rien. Eagles of Death Metal c’est un groupe tout bonnement créé à l’initiative de Josh Homme – qui n’est autre que le leader des Ôh combien fameux Queens Of The Stone Age – et de son pote d’enfance Jesse Hughes – c’est ce dernier qui assure le lead du groupe – lors d’une discussion arrosée. Et nous sommes bien loin d’un groupe de Death Metal.

Nous sommes au contraire en présence d’un groupe fun, qui ne se prend pas (forcément) au sérieux, qui fait ce qu’il lui plaît et ce qu’il aime, parce que ça lui plaît et parce qu’on aime. Tout comme on aime aller au stade se faire un petit match de foot ou encore se prendre une bonne pinte avec les potes au bar du coin. Tout autant de moments qui dénotent avec les événements de la nuit passée, cette barbarie qui te prend à la gorge et t’emplie de colère, d’une profonde tristesse et de haine.

Mais ce post n’est pas là pour ça. Nous avions envie d’écrire, simplement parce qu’il arrive certaines fois qu’on ne puisse exprimer autrement ce que l’on ressent. Quoiqu’il en soit, ni le « Petit Cambodge » ni ce monument historique qu’est le Bataclan ne doivent désormais être synonymes de ces foutus drames. Tout comme pour cet excellent groupe, continuons à puiser notre force de ce qui nous plaît, de ce que l’on aime.

Alors pour vous, mais aussi pour eux et surtout pour toutes celles et ceux qui ont, malgré eux, été pris dans la spirale infernale de cette nuit, voici ce que sont les Eagles of Death Metal :

ou encore :

mais aussi :

et surtout :

Cet article Ce post n’est pas là pour ça a été publié en premier sur The Earlinguists.

Mais ne nous égarons pas. (surtout dans la forêt de Blair…)

Nous sommes ici pour vous parler de Clara Beaudoux, journaliste de son état, qui a emménagé dans un vieil appartement Parisien. Jusqu’ici, rien d’anormal, ni d’ailleurs si l’on vous dit qu’elle a eu la surprise de découvrir dans sa cave des cartons remplis d’affaires de feu la précédente occupante, une certaine Madeleine. (mieux vaut ça qu’un appartement crade et des canalisations bouchées… Nous ne saurions vous contredire.)

Et donc, là où cette histoire prend un tournant différent, c’est qu’une fois que Clara eut contacté l’un des seuls proches connus et qu’il n’ait pas souhaité récupérer les affaires, elle décida d’y jeter un œil… Puis deux… Et nous supposerons que l’instinct de journaliste a prit la suite, puisque depuis le 2 Novembre (donc lundi, ndlr) le hashtag #madeleineProject est né, Clara narrant son enquête directement sur son compte Twitter, au fil de ses découvertes.

C’est assez étrange, non ? De raconter la vie privée d’une personne comme ça à « tout le monde ». Oui… Et non… Cette personne n’est plus parmi nous et personne (tout au moins d’encore vivant) n’y semble vraiment attaché. Du coup ici, on en arrive presque à un petit hommage à la vie de Madeleine et, même sans la connaître, on se prend un petit coup d’attendrissement sur le coin de la tête car quelque part, elle ne sera pas sans nous rappeler une grand-mère, une tante,…

Pour vous faire une idée, vous pouvez aussi accéder au Storify agrégeant les tweets de Clara, sur qui on compte pour continuer à respecter Madeleine comme elle le fait si bien jusque là.

Cet article #madeleineProject a été publié en premier sur The Earlinguists.

Comment ça il n’y a pas Bouygues à Prague ? #cestNousQuonRaconte
(Et de toute façon il n’y a Bouygues nulle part…)

Bref ! Qu’à cela ne tienne, l’association Wifi4Life a THE solution pour vous : les SDF hotspots WiFi.
Des SDF recrutés par l’association, reconnaissables via leur T-shirt « Wifi gratuit » et qui disposent d’un routeur WiFi capable d’émettre à 20 mètres, permettant jusqu’à 10 connexions simultanées avec un débit de 1 Mbps, le tout avec une autonomie de 6 heures. #silVousPlait

Ainsi, grâce à cette association :

• finit le pic de stress quand vous perdez votre connexion
• vous pouvez également recharger votre smartphone via la prise USB du routeur
• les SDF équipés sont logés, nourris et reçoivent un « salaire » de 5€ par jour

Voire peut-être même un 4e aspect… la baisse du nombre de SDF dans les rues de Prague. « The fuck ? » nous direz-vous ?
C’est tout simple en fait – sans vouloir jouer les rabat-joies – paraîtrait quand même que les ondes du WiFi (tout comme n’importe quelle autre onde par ailleurs) peuvent s’avérer dangereuses, surtout si vous en êtes très proche.
Il y a « juste » quelques articles pas bien difficiles à trouver sur le net à ce sujet :

• http://www.commentcamarche.net/faq/30572-couper-son-wifi-peut-vous-sauver-la-vie
• http://tempsreel.nouvelobs.com/l-enquete-de-l-obs/20130930.OBS9058/portables-wi-fi-tablettes-les-vrais-dangers-des-ondes.html
• http://www.topsante.com/medecine/medecine-divers/environnement-et-sante/l-exposition-au-wi-fi-est-elle-dangereuse-247913

Alors de là à passer 6 à 8h par jour avec un routeur autour du cou…

Pour la petite histoire, Wifi4Life avait proposé son projet sur Indiegogo sans avoir rencontré le succès escompté, ce qui ne les a pas empêché de se lancer. Bon par contre ils n’ont pu équiper qu’un seul SDF pour le moment. Un genre de version Alpha dirons-nous !

Allez, selon vous, bonne idée ou pas ?

Cet article Les SDF hotspots WiFi a été publié en premier sur The Earlinguists.

Le concept ?
Favoriser le développement de la culture sur l’espace public, en mettant à profit les temps d’attente incompressibles que l’on rencontre tous les jours, via des bornes vous permettant d’imprimer des histoires courtes en fonction du laps de temps que vous avez à occuper : des bornes pour tuer le temps.

Bon, toute considération écologique mise de côté (les bornes utilisent peut-être du papier recyclé après tout ?), cette idée part du constat que nous passons beaucoup trop de temps le nez collé à nos écrans d’une part – #pasFaux – et que notre temps est devenu de plus en plus précieux d’autre part. #çaSeDiscute

Du coup, au lieu de vous abrutir sur une énième version de Candy Crush (selon un récent sondage, les personnes de bon goût joueraient plutôt à Blind Legend), vous pourrez tout simplement sélectionner le temps que vous avez à tuer – à savoir 1, 3 ou 5 minutes – et la borne vous imprimera au hasard une histoire courte qui vous surprendra, vous émouvra, vous fera rire… ou même réfléchir.

On soulignera le fait que par ce biais, Grenoble encourage la création littéraire (les micro-nouvelles sont écrites par la communauté des auteurs de Short Edition) et a également fait bosser des entreprises locales pour la mise en place du dispositif, top

Toujours au rayon des bonnes idées, vous noterez qu’ils ont eu l’intelligence d’imprimer sur des feuilles de 8cm de large pour les emporter facilement avec vous (nul besoin de vous rappeler que votre CB fait quasiment la même taille avec ses 8,56cm) et que les bornes sont suffisamment bourrées d’histoires pour vous éviter de tomber 2 fois sur la même, eh !

De manière pragmatique, nous ne voyons qu’un seul point noir : que faites-vous s’il y a de l’attente à la borne qui est sensée vous imprimer une histoire pour vous éviter d’attendre ? #infiniteLoop

Pour les petits curieux que vous êtes, le communiqué de presse.

Cet article Des bornes pour tuer le temps a été publié en premier sur The Earlinguists.